vendredi 21 décembre 2007

Lettre aux parents d'élèves et aux villageois.

21 décembre 2007

Chers parents, villageois.

Le 18 déc 2007 je me suis rendu au conseil municipal pour apporter au dossier téléphonie mobile qui était à l’ordre du jour une récente étude financée par l’OMS prouvant que les ondes électromagnétiques et la téléphonie mobile sont cancérigènes et cela surtout en milieu rural.
Le maire a catégoriquement refusé de faire connaître cette information aux conseillers. Le conseil municipal prend des décisions au nom de la population qui lui a apporté sa confiance.
Je passerai les agissements et humiliations que j’ai eu à subir à ce conseil de la part du maire, et vous fais part comme devraient normalement le faire les responsables de notre village des dernières informations en matière de téléphonie mobile.

LA SITUATION EST GRAVE

Après de nombreux courriers et copies à la mairie, com com de thann, préfet, député, académie, de rapports scientifiques internationaux et indépendants prouvant la dangerosité des micro-ondes et notre souhait de voir annulé ce projet dangereux d’implantation d’antenne relais rurale
Après des réunions publiques, une mobilisation des villageois, une pétition et d’une majorité de signatures (+ de 200 signataires) contre l’implantation de cette antenne relais de type rural à 1400 m de l’école et centre du village.

Le maire et le conseil municipal donne leur accord pour le déplacement de cette antenne rurale au col du Shirm à 500 m de l’école courant du premier semestre 2008 (avril - mai)

Nos enfants mais aussi nous même risquons des leucémies, cancers, et nombreuses maladies provoquées par les micro-ondes. Ces antennes sont beaucoup plus puissantes, plus dangereuses qu’en milieu urbain du fait du relief et des distances à couvrir.

Nous ne pouvons accepter de vivre cette situation et scolariser nos enfants dans de telles circonstances au risque de les rendre malades, de mettre leur vie en danger, ceci parce que M. Bilger ne veut pas entendre qu’il a tort, et d’assouvir une volonté politique de couvrir les zones blanches, dont nous ne remplissons pas les conditions (zone blanche = zone sans aucune couverture).
C’est également avec nos impôts que nous payons un projet inutile qui mène à nous ruiner la santé et nous mettre en danger.

Actuellement la mairie est équipée d’une Live Box, un modem de chez Orange qui fait office d’antenne micro-ondes et de connexion sans fil WIFI. Celle-ci émet en permanence des ondes électro-magnétiques dangereuses sur un rayon de 100m. Autant vous dire que nos enfants sont déjà au sein même de la mairie, mis en danger. Le comble, la mairie n’a pas de connexions sans fil (WIFI) pour ces ordinateurs. Cette antenne fonctionne inutilement, pour rien.
Je vous invite à en reparler après les fêtes de fin d’années, tous ensemble, parents d’élèves, directeur d’école, pétitionnaires lors d’une réunion que nous organiserons au mois de janvier 2008.

En attendant de nous réunir, je vous suggère de visiter les sites http://www.robindestoits.org http://www.next-up.org. Vous trouverez sur le site du collectif Bourbachois “Un Monde sans Mauvaises Onde” à l’adresse http://anosmontagnes.blogspot.com, nos différentes actions et le rapport BioInitiativ faisant acte de 1500 études scientifiques internationales et indépendantes prouvant la toxicité et la dangerosité sur le vivant des ondes électromagnétiques (antenne relais et mobile).

Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’années, et puisse cette occasion faire que l’amour et la raison l’emportent sur l’orgueil et les profits.


Cordialement
Olivier Cellier

Journal Télévisé 20 H - France 2



Extrait du 20 heures de France 2 du 9 décembre 2007..
On y "apprend" que des scientifiques ont mis en évidence un lien de cause a effet entre l'utilisation du téléphone mobile et des problèmes de santé graves.

Petit rappel :

** Janvier 1998 **
Cancer: une étude de l'OMS sur les téléphones portables
A l'initiative du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), agence de l'OMS basée à Lyon, une étude internationale va être lancée pour vérifier que l'utilisation des téléphones portables pourrait comporter un risque d'augmentation des tumeurs du cerveau. Une étude de cas témoins (avec et sans cancer) portant sur plusieurs milliers de personnes âgées de vingt-cinq à cinquante ans pourrait commencer à l'automne 98.

** Mai 1999 **
Le portable pourrait favoriser les tumeurs du cerveau
Deux nouvelles études scientifiques ont montré que l'utilisation de téléphones portables pourrait favoriser le développement de tumeurs cancéreuses du cerveau, rapporte la BBC.
AFP -

10 ans..
C'est le temps de réflexion qu'on s'accorde pour des questions de santé publique de cette ampleur...

mardi 16 octobre 2007

Le téléphone mobile favoriserait les tumeurs cérébrales

Le Monde - Hervé Morin - édition papier datée du 13/10/2007


L'utilisation du téléphone mobile est néfaste pour la santé, et pas seulement au volant. Une analyse portant sur dix-huit études conclut qu'au-delà de dix ans d'utilisation d'un cellulaire, le risque de développer une tumeur cérébrale maligne - le gliome - du côté où l'appareil est porté à l'oreille serait multiplié par deux. Cette affection touche chaque année environ 6 personnes sur 100 000. Pour les atteintes du nerf acoustique - le neurome -, le risque serait deux fois et demi plus élevé, dans ces mêmes conditions.

Publiée en ligne par la revue Occupational and Environmental Medecine (OEM), cette analyse, conduite par les Suédois Lennart Hardell (université d'Orebro) et Kjell Hansson (université d'Umea), contredit une étude rendue publique en septembre en Grande-Bretagne, selon laquelle "il n'a pas été montré que les mobiles étaient associés à des effets biologiques ou délétères".

Mais Lawrie Challis, qui a dirigé l'étude britannique, admet, rapporte le quotidien The Independent, qu'en raison du faible nombre de patients ayant utilisé un téléphone mobile depuis plus de dix ans, "il n'est pas possible à ce stade d'écarter la possibilité que des cancers puissent apparaître dans les prochaines années". L'incertitude liée au temps de latence entre l'exposition aux champs électromagnétiques et le développement éventuel d'une tumeur reste l'un des principaux obstacles dans la conduite d'études épidémiologiques "conclusives".

En France, où la téléphonie mobile a pris son essor à partir de 1992 et où l'on dénombre désormais plus de 52 millions d'abonnés, l'étude la plus récente, publiée en septembre dans la Revue d'épidémiologie et de santé publique, souffre des mêmes limitations. Elle porte sur des patients atteints de tumeurs cérébrales entre 2001 et 2003.

"L'usage régulier du téléphone mobile n'est pas lié à une augmentation du risque de neurinomes, de méningiomes ou de gliomes, conclut-elle. Bien que ces résultats ne soient pas significatifs, il semble toutefois exister une tendance générale à une augmentation du risque de gliome chez les plus "gros consommateurs" de téléphonie mobile : utilisateurs de longue durée, au temps de communication élevé et ayant utilisé un plus grand nombre de téléphones."

La puissance statistique de l'étude française étant insuffisante pour trancher, les auteurs renvoient à l'étude internationale Interphone, lancée en 1999. Elisabeth Cardis, qui coordonne Interphone au Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), à Lyon, n'est pas surprise par les résultats de l'étude de Lennart Hardell et Kjell Hansson. "Ils s'appuient sur plusieurs études incluses dans Interphone, qui ont effectivement noté des augmentations, significatives ou non, des gliomes chez les utilisateurs de mobile", admet-elle. Toute la difficulté réside dans l'interprétation des résultats, ajoute-t-elle.

Un des biais possibles concerne la mémorisation par les malades de leur propre usage du téléphone."Ils cherchent une explication à leur maladie et ont tendance à exagérer leur exposition", note Elisabeth Cardis. Ce biais de mémorisation est statistiquement repérable : il conduit à une apparente réduction du risque de tumeur dans l'hémisphère opposé au téléphone, comme si exposer un côté protégeait l'autre...

L'étude Interphone s'attachera aussi à préciser la localisation des tumeurs. Si 20 à 30 % de la dose électromagnétique émise par le téléphone sont absorbés par le cerveau, "cette exposition est très localisée", indique Elisabeth Cardis. Il est alors peu probable qu'une tumeur dans la partie frontale ou occipitale puisse être attribuée aux radiofréquences, note-t-elle.


LAXISTES


Ces problèmes méthodologiques expliqueraient, selon la chercheuse, le retard de plusieurs années pris dans la publication de l'étude Interphone, espérée "dans quelques mois". En attendant, Elisabeth Cardis refuse de se prononcer sur la nécessité ou non de réviser les normes d'émissions de radiofréquences.

Celles-ci sont jugées trop laxistes par un groupe de spécialistes internationaux, dont Lennart Hardell. Ces experts ont rendu public, le 31 août, un rapport dans lequel ils réclament un durcissement de la réglementation internationale sur les ondes électromagnétiques, qu'elles soient émises par les lignes à haute tension, les fours à micro-ondes, les antennes et relais de télécommunications ou les téléphones portables.

Micro-ondes, DECT, Wi-Fi et mobiles mesurés in situ

L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset), qui recommande d'utiliser le mobile "avec discernement", a financé une étude sur l'impact des radiofréquences à Besançon et à Lyon. Pendant une semaine, 400 volontaires ont porté un dosimètre. Les trois millions de mesures récoltées montrent que la grande majorité des expositions sont dues au téléphone portable, au sans-fil domestique (DECT) et au four à micro-ondes. Coordinateur de l'étude, l'épidémiologiste Jean-François Viel note qu'il s'agit de résultats préliminaires, à affiner, notamment en ce qui concerne le Wi-Fi, "qui émet dans la même gamme de fréquences que le four micro-ondes".

dimanche 7 octobre 2007

Téléphonie Mobile et Wifi - Article du DNA

« Les risques sanitaires sont prouvés »

La téléphonie mobile est nocive pour la santé, répètent inlassablement Marc et Etienne Cendrier, fondateur et président de l'association «Robin des Toits ». La nouveauté, « c'est que nous en avons maintenant la preuve », ont-ils indiqué hier à Bouxwiller lors d'une réunion organisée dans le cadre de Larz'Als.

Dans l'actualité récente, l'électrosensibilité aux ondes électromagnétiques a été reconnue pour la première fois en France par la sécurité sociale comme une maladie invalidante. Jusqu'ici, les patients atteints de troubles (insomnies, maux de tête, vertiges,...) à proximité d'antenne de téléphonie mobile étaient le plus souvent traités par le corps médical comme des malades psychologiques...
Mais la téléphonie mobile est porteuse de bien d'autres risques sanitaires, dénoncent les Cendrier père et fils, de l'association Robin des Toits, venus hier à Bouxwiller à l'invitation de la CGT, d'Attac et de la confédération paysanne pour une conférence. Et d'ailleurs, deux nouvelles études indépendantes, rendues publiques cet été corroborent leurs dires. « C'est même la première fois qu'une étude sur le sujet utilise le mot preuve », précise Marc Cendrier en évoquant le travail de scientifiques américains établissant un lien entre les ondes électromagnétiques et les ruptures d'ADN. Plus récemment encore, une équipe de chercheurs de l'université de Clermont-Ferrand vient de mettre en évidence (« sans doutes possibles ») les effets du rayonnement des champs électromagnétiques de 900 mHz (la fréquence la plus utilisée par la téléphonie mobile) sur le fonctionnement génétique des végétaux.

« Une toxicité triple »

La preuve de l'effet génotoxique de la technologie sans fil (le wi-fi est également concerné) pourrait ainsi faire bouger les choses pour que le principe de précaution soit enfin appliqué.
« A l'époque, rappelle Etienne Cendrier, la téléphonie mobile a été lancée sans qu'aucune étude n'ait été menée sur son impact sanitaire ».
Ensuite, les opérateurs ont systématiquement écarté tous les rapports gênants sur le sujet et « leurs auteurs se sont soudainement retrouvés sans budget pour continuer les recherches ».
Pourtant l'hyperfréquence utilisée pour transporter les signaux sur un mode pulsé, associée à la très basse fréquence desdits signaux induit «une toxicité triple ». L'hyperfréquence a un effet thermique (risque d'échauffement des tissus cellulaires), la très basse fréquence interfère avec nos fréquences internes « dont celles du cerveau » et les pulsions provoquent des « microsaccades perturbant les processus microbiologiques ». Avec des risques de tumeur du cerveau, de dérégulation des rythmes physiologiques, de rupture d'ADN donc de cancer, etc.

Un seuil de précaution

« Il ne s'agit pas de renoncer aux mobiles, insiste Etienne Cendrier mais d'imposer aux opérateurs un seuil d'exposition maximal de 0,6 volt par mètre contre 41 V/m actuellement. C'est un seuil de précaution qui marche parfaitement bien, appliqué d'ailleurs sans problème à Salzbourg en Autriche ou Valence en Espagne. Mais évidemment, il faudrait rajouter des émetteurs et cela reviendrait plus cher aux opérateurs... »
En attendant l'adoption de ce seuil d'exposition sans impact pour la santé humaine, quelques conseils : pas de portable pour les moins de 15 ans, ne pas porter son mobile près du coeur ou parties génitales, utiliser l'oreillette, ne téléphoner que dans des conditions de réception maximale (le rayonnement émis par l'appareil augmente avec les difficultés de connexion), ne pas téléphoner en voiture même à l'arrêt (l'effet dit de cage de Faraday amplifie le rayonnement subi), la nuit, éloigner le portable de votre tête et bien sûr limiter le nombre et la durée des appels.

Simone Wehrung
Édition du Dim 7 oct. 2007
Les Dernières Nouvelles d'Alsace

samedi 8 septembre 2007

Les signaux d'alerte du réseau sans fil

Les risques des ondes pulsées ont été recensés dans une nouvelle étude américaine. Les appels afin de durcir les normes se multiplient. En Allemagne, la prudence est recommandée à domicile.

Risque accru de leucémie infantile, de cancer du cerveau, d'Alzheimer, désordres acoustiques, problèmes nerveux variés, modification de l'ADN, troubles du sommeil C'est un nouveau message d'alerte que lancent une vingtaine de scientifiques américains, médecins pour la plupart.


Publié vendredi dernier, leur volumineux rapport « Bio Initiative » (1) fait la synthèse des centaines d'études consacrées à l'impact sanitaire des champs électromagnétiques sur l'homme : «  Le déploiement sans entrave des technologies sans fil est vraisemblablement risqué et sera difficile à contrer si la société ne prend pas des décisions rapides sur de nouvelles limites d'exposition, conclut le rapport. Comme il n'est pas réaliste de reconstruire tous les systèmes de distribution électrique à court terme, des étapes pour réduire l'exposition liée aux systèmes existant doivent être initiées et encouragées, particulièrement dans les lieux où les enfants passent du temps »

Vous ne pouvez pas la voir, la sentir, la goûter ? « La pollution électromagnétique est pourtant l'exposition la plus envahissante à laquelle les êtres humains sont soumis dans les pays occidentaux, constatent les experts. Notre société ne peut plus se payer le luxe d'attendre avant d'agir  »

Attendre, c'est pourtant le credo de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont le discours rassurant (lire page 3) est aux antipodes des signes d'inquiétude scientifique lancés depuis bientôt six ans (appels de Fribourg en 2002, d'Helsinki en 2005 et de Benvento en 2006). Nouvel écho de ces craintes, le débat sur le possible bannissement des systèmes wi-fi dans les écoles en Grande-Bretagne. De son côté, le gouvernement allemand, vient de déconseiller l'usage du wi-fi à domicile et de « de préférer autant que possible l'utilisation de solutions filaires traditionnelles plutôt que de connexions sans fil »

Et en Belgique ? « Nous travaillons actuellement sur une nouvelle note consacrée à cette question, explique le professeur André Vander Vorst, membre du Conseil supérieur de la santé (CSS) en Belgique et au Pays-Bas. Elle devrait aboutir en décembre. Je rappellerai simplement que, si on veut agir de manière prudente, il convient de considérer la somme de l'exposition à laquelle un individu peut être soumis. C'est pourquoi le conseil supérieur fédéral avait recommandé en 2004 de ne pas dépasser 3 volts par mètre – en aucun endroit et à aucun moment »

Négligeant cette recommandation, le gouvernement fédéral sortant a préféré adopter un arrêté royal imposant aux opérateurs de ne pas dépasser 20,6 volts par mètre. Six fois plus que la recommandation prônée par les scientifiques, mais deux fois moins que la valeur maximale préconisée par l'OMS. « Les recommandations de l'OMS sont dépassées et ne tiennent compte que des effets thermiques des champs électromagnétiques sur la santé, fulmine Jean Delcoigne, de l'association Teslabel. Or, les effets sur la santé se font déjà sentir à des niveaux bien inférieurs aux trois volts par mètre recommandé par le Conseil supérieur de la santé  » L'association, qui a introduit un recours devant le Conseil d'État, espère rééditer l'annulation des normes fédérales, comme en 2005. Et confronter le prochain gouvernement à la nécessité de plancher sur de nouvelles normes en dépit des hauts cris poussés par l'industrie.

En attendant, le brouillard électromagnétique est de plus en plus dense : 8.000 stations-relais sont recensées sur le sol belge – et, si l'on en croit les prophéties touchant à la « téléphonie de la troisième génération », ce chiffre devrait augmenter de 50 % d'ici la fin de la décennie.

Vigilance, donc ? « On met l'accent sur les risques du wi-fi, mais à mon sens, les téléphones numériques sans fil de type “DECT” utilisés chez les particuliers représentent un bien plus grand danger, estime André Vander Vorst. Cette technologie héritée de l'industrie permet de gérer une dizaine de communications simultanément et émet en permanence, 24 heures sur 24, dans les habitations. Si bien que l'intensité du champ émis est largement supérieure au rayonnement des antennes GSM »

Faut-il dès lors privilégier le bon vieux sans fil ? Pour le scientifique belge, la prudence extrême doit s'imposer en attendant 2015, date à laquelle le recul sera suffisant pour juger de l'impact global de la téléphonie mobile sur la santé. Et à défaut de pouvoir interdire certaines technologies comme ces téléphones de type « DECT », le membre du Conseil supérieur attend des pouvoirs publics qu'ils imposent aux constructeurs d'informer le consommateur quant à la puissance de ces téléphones et autres « baby-phones » sans fil. Avant peut-être un jour d'y voir figurer cette mention : «  Cet appareil peut nuire gravement à votre santé. »

http://www.bioinitiative.org

Le rapport de presse de Bio Initiative

Journal Le Soir : Faut-il avoir peur du réseau sans fil ?

dimanche 29 juillet 2007

Les dangers du GSM (Reportage)

Lettre aux politiques

Mme Ségolène Royal,
M. Michel Guillot (Préfet du Haut Rhin),
M. Reitzer (Député),
Mme Martine Diffor,
M. Bilger Vincent (Maire de Bourbach-Le-Haut),

Bonjour,


Afin de vous permettre de disposer d'autres informations que celles habituellement diffusées par les opérateurs sur la téléphonie mobile, je vous invite à regarder ce reportage réalisé par nos voisins Belges. (dont la législation sur l'émission des puissances des antennes relais ne tolère plus que 3 V/m contre 21 V/m auparavant )

Cliquez sur les liens pour voir les vidéos :
Vidéo 1
Vidéo 2


Vous êtes tous au courant d'un projet d'antenne relais sur Bourbach-Le-Haut (Alsace - Haut Rhin), qui fâche plus de la moitié de la population de ce village.
204 villageois et 1 millier de personnes extérieures au village ont signé une pétition demandant à M. Vincent Bilger Maire de Bourbach-Le-Haut de renoncer à l'implantation de cette antenne rurale de téléphonie mobile sur le village et aux alentours pour différentes raisons.

1. La dangerosité prouvée et avérée des micro-ondes sur l'organisme humain mise en évidence par plusieurs centaines d'études scientifiques indépendantes de par le monde.

2. La couverture hertzienne déjà existante sur le village et aux environs.

3. L'incitation à la consommation de produits toxiques et dangereux pour les enfants et adolescents, plus sensibles aux ondes électromagnétiques que les adultes.

4. Le manque d'informations, de transparence du projet et de concertation avec la population de la part des opérateurs.

5. Le souhait de préserver un cadre de vie exceptionnel, respectueux de l'environnement et de la santé publique.


  • Enfin, il nous reste nos vieux et très bons téléphones filaires pour nous contacter.
  • Les urgences sont joignables d'un portable en faisant le 112 via un réseau satellite.
  • Pour les commerciaux et accros du portable une fois chez eux, le transfert d'appel d'un portable vers un fixe fonctionne parfaitement.
  • Puis et surtout, il est inacceptable de faire encourir des risques inutiles aux citoyens de ce village, dans un autre but que de satisfaire le lobby de la téléphonie mobile.

Se préoccuper en priorité du bien être de la majorité de ses habitants plutôt que du profit de quelques uns est la volonté de notre Maire Vincent Bilger, pour cela nous le soutenons activement et souhaitons que ce soit notre pain quotidien.


( Cliquer sur l'image pour l'agrandir )



Sur cette volonté incontestable et des plus respectable, je vous demanderais de soutenir notre combat, respectueux de notre environnement et de notre droit fondamental à tous, l'accès, la demeure au bien-être et la santé.

Merci de nous faire part de votre volonté et soutien éventuel.

Mes cordiales salutations


Olivier Cellier

Membre du Collectif "Un Monde sans Mauvaises Ondes" de Bourbach-Le-Haut
Contact : 03 89 38 85 87 Ferme Auberge - Les Buissonnets - par e-mail : oliviercellier@free.fr